Un très bon concert se repère ensuite aux versions uniques des chansons, à leurs mots d’introduction adressés au public. Et il y en eût ce soir.
Orthodoxie dominicale…
Pas assez frais pour m’insuffler les meilleures mauvaises nouvelles du jour sur les chaines infos, je l’avoue, oui, il m’arrive d’attiser ma curiosité théologique, moi, l’athée, moi, l’agnostique, sorte de pénitence pour avoir bu trop de rhum la veille.
Rostam et Esfandiâr
le spectateur ne se reconnait ni dans Rostam ni dans Esfandiar, ni dans la violence de leurs combats ni dans leurs tentatives de conciliation. Le silence qui règne dans la salle pendant le spectacle est autant dû à l’absence d’interactivité qu’à ce peu d’engouement et d’empathie.
Perdues dans Stocklhom
Pas de syndrome de Stockholm en ce qui me concerne