Ce roman « boomerang » est un petit bijou d’émotion, de tendresse et d’humour. Il fait avec tact un pied de nez à la solitude, prenant le parti de croire en l’avenir.
Timbuktu
Pourquoi alors le film laisse-t-il un goût amer, un sentiment paradoxal de malaise ? Parce que l’on se demande à qui il s’adresse. Est-il un hommage au continent africain, à sa beauté, son endurance pour éveiller aux dangers de l’obscurantisme qui le menace ?
Le Hobbit: La Bataille des Cinq Armées
Cependant calmons nos ardeurs: ca sent le déjà vu et la redite. La musique sauve souvent le film des lourdeurs inexcusables et des facilités scénaristiques. Howard Shore parvient à une épopée orchestrale magnifique et digne des grandes partitions du cinéma. Son boulot sur les six films est remarquable et fait le lien sentimental entre les différents chapitres mais aussi le spectateur. Ecrite par un autre, le film aurait été purement indigeste.