On constate qu’ils en tirent le meilleur. On trouve dans leur disque, comme dans les précédents, une délicatesse assez rassurante. Les chansons s’étirent parfois un peu inutilement. L’ambiance feutrée peut pousser vers la somnolence.
Deephan
Jamais misérabiliste, le scénario décrit une cité qui va craquer avec des poncifs déjà bien utilisés (les gangs, le deal, la misère) et c’est là où l’on s’ennuie. Comme si le constat social ne servait qu’un scénario qui file tout droit vers une dernière partie bien balisée et spectaculaire.
Summer songs: Waterfalls
Thalys au pays des Marvels
Youhooouuuu, c’est la rentrée, finies les soirées spéciales « Camping Paradis » ou les best of des best of des …