Les morceaux sont peu nombreux mais nous promènent dans l’imagination fertile de la fraternité de Robinson. On est bel et bien dans un bayou illuminé par la fée électricité et quelques pétards joyeux pour rendre la fête la plus éclatante possible.
Les primaires des primates, Théâtre des deux ânes
La salle éclate de rire. Même les blagues misogynes font rire. Tout y passe : les impôts, Stéphane Plazza, les vies publiques et privées des ministres, leurs traits animaliers, leurs boulettes, l’alternance. Il y a tellement de quoi rire, il faut dire. Tant la surmédiatisation des hommes et femmes à la tête de l’Etat nous sert des gaffes et absurdes sur un plateau au quotidien.
Hôtel Feydeau
Drôle, immensément drôle, le roi des quiproquos demeure actuel. Mais n’te promène donc pas toute nue, L’Hôtel du libre-échange, Le système Ribadier : ces histoires de mari cocu, de femme infidèle, de domestiques insolents sont intemporelles.