Baby Driver

Billy Elliott de la grande vitesse, le jeune homme doit du pognon à un mafieux paternaliste et sa dette sera épongée après un dernier braquage. Evidemment rien ne va se passer comme prévu. Dans cette seconde moitié, on est en terrain connu et le réalisateur se concentre sur son récit. Il est musclé et enlevé. Un Drive avec de l’humour et de la dérision.

Boustrophedon

Tant de légèreté et de joliesse, on ne s’attendait pas à ça de la part d’un artisant assez discret et attachant. En quelques notes, on pense déjà à la poésie décalée des Innocents qui s’y connaissent en matière de ritournelles indestructibles! Nicolas Paugam pourrait exploser avec ce disque: on voudrait qu’il reste notre secret mais il est finalement tant que la reconnaissance lui soit offerte.