Le dessin de Sébastien Morice est magnifique, sa mise en couleur parfaite. Je vous laisse découvrir les nombreux rebondissements de cette histoire qui nous amènent jusque dans la France des années 60, bien loin de cette guerre de 14 qui n’en finit pas de nous fasciner.
Home sweet Home
Donc l’album débute chez les parents de Max qui hébergent leur cher fils. La cohabitation n’est pas simple, les reflexions de la grand-mère sont merveilleuses, l’amour maternel lui est vite pesant. Dès qu’il le peut, Max quitte le logis familial plein de bonnes résolutions.
Jazz Maynard
Quant à l’intrigue, dense et touffue, Raule sait la rendre claire et lisible tout en y ajoutnt à chaque fois des éléments plus personnels sur la vie de notre héros. Voici donc un cycle qui s’annonce très prometteur. On est moins dans le côté « Kill Bill » des 3 premiers albums.
Le Tombeau d’Alexandre
Le dessin de Maffre restitue la chaleur de l’Egypte. Les décors sont magnifiques, les personnages attachants et bien campés. On est proche de la malédiction de Ramsés. Tout est possible et tout peut arriver.