Le seul intérêt c’est donc la caractérisation des personnages. On appréciera la soirée mondaine où ils se retrouvent tous : dis-moi ce que tu bois, je te dirais qui tu es. C’est dans les petits détails que se trouvent les plaisirs. Les petits scènes anodines plutôt que les morceaux de bravoure, de toute façon spectaculaires.
Enfant 44
Le réalisateur Daniel Espinosa tente le « Seven » de l’Armée rouge mais fait dans la pellicule binaire, grise et sans réelle intention. C’est assez mal filmé. Le scénario patouille dans la gadoue. Les comédiens font le concours de celui qui va être le moins expressif.
Fast & Furious 7
On résume: l’épique de Vin Diesel est poursuivi par le frère du méchant du numéro 6. Pour le choper, il faut remplir une mission pour l’Etat (et Kurt Russell qui comme un camion, en fait des tonnes). Pour bien remplir cette mission, il faut remplir une autre mission impossible (oups le lapsus). A chaque fois, le frangin revanchard fera une apparition explosive.
Divergente 2: l’insurrection
Oubliez toute idée de surprise. A part la coupe de cheveux très eighties de l’héroïne, rien de dépasse du cahier des charges du film fantastique pour adolescent(e)s. On a droit à un mélange entre romance niaise et récit d’apprentissage assez âpre. Le décalage fait tout le sel de ce genre de spectacle, si on est un peu masochiste ou si on aime bien voir des filles se coller des baffes!