Nous découvrons donc à toute allure, la charmante Jupiter Jones qui nettoie avec acharnement les toilettes des nantis de Chicago. Un body buildé avec les oreilles de Spock déboule dans sa vie car elle est la réincarnation d’une reine de la galaxie. Ca vous chamboule pas mal l’existence ce genre de révélation !
Taken 3
Derrière tout cela, c’est encore la bande de Luc Besson. Olivier Megaton, gros filmeur frimeur, réalise comme un clip. Tout dans l’effet, rien dans la visibilité. Le récit est mou et pas loin d’être nauséabond avec un éloge de la famille et toutes ses bonnes valeurs rassurantes que Mills défend de manière violente.
Into the Woods
Disney produit mais s’offre une maladroite psychanalyse des contes qui nourrissent son compte en banque! Les ruptures de rythme sont parfois difficiles. Le ton est parfois glaçant, osant révéler les horreurs qui se cachent derrière les histoires pour nos bambins.
Le Septième Fils
Réalisateur de gros blockusters russes (Mongol, Nomad), Sergey Bodrov filme donc la poursuite d’un épouvanteur pour mettre la main sur une vilaine créature avec un grand sens qui n’importe quoi. Ca ne ressemble à rien. C’est filmé avec une hystérie qui finit par lasser rapidement. La production est incohérente.