Avant c’était sans retenue. Désormais, la musicienne brode. Elle introduit des touches d’électro. Les synthés tapissent ses douleurs. D’autres instruments ont désormais leur droit d’entrée dans son univers triste mais plus désespéré.
Avant c’était sans retenue. Désormais, la musicienne brode. Elle introduit des touches d’électro. Les synthés tapissent ses douleurs. D’autres instruments ont désormais leur droit d’entrée dans son univers triste mais plus désespéré.