Pierre Loosdregt

Ready player One

Emporté par sa philosophie de vieux sage, Spielberg soigne la réalisation mais oublie un peu ses héros, un peu fades et enchainés à une histoire d’amour un peu simplette. Mais bon il ne faut pas bouder son plaisir: ce n’est pas du mercantilisme ou un produit de consommation roublard.