Pierre Loosdregt

The Lost City of Z

Le héros cite Kipling mais le film réveille tout ce cinéma d’un autre temps où la frontière n’est pas physique mais intérieure, où les paysages deviennent l’expression des doutes des protagonistes, où la musique nous propose de s’élever, au delà des images, où l’action reflète une profondeur plus existentielle.

One shot

Ce n’est pas non plus des morceaux pour alcoolos. Le groupe maitrise parfaitement son sujet. Chaque refrain est gonflé d’espoir. Ca va très bien avec le printemps qui fait son apparition. En y revenant, il y a tout un tas de subtilités et de surprises qui rendent la visite de ce lieu obligatoire