Les deux Toulousains de De Calm, un peu à l’image d’un Miossec à l’époque de son chef d’oeuvre, 1964, jouent sur la carte de l’introspection et soulèvent à travers leurs refrains mélodiques des sujets assez audacieux et même douloureux. On pensera bien sûr au Bataclan mais aussi sur des thèmes intimes et universels.
Sciences Politiques
L’intrépide Pascal Bouaziz retrouve donc le groupe de ses débuts. Après un bouquin, un autre groupe et un disque solo, il retourne aux sources. Pascal Bouaziz reforme son groupe étrange pour rendre hommage à ses illustres ancètres. Mais il va refuser, une fois de plus, de faire comme les autres.
The Lost City of Z
Le héros cite Kipling mais le film réveille tout ce cinéma d’un autre temps où la frontière n’est pas physique mais intérieure, où les paysages deviennent l’expression des doutes des protagonistes, où la musique nous propose de s’élever, au delà des images, où l’action reflète une profondeur plus existentielle.
One shot
Ce n’est pas non plus des morceaux pour alcoolos. Le groupe maitrise parfaitement son sujet. Chaque refrain est gonflé d’espoir. Ca va très bien avec le printemps qui fait son apparition. En y revenant, il y a tout un tas de subtilités et de surprises qui rendent la visite de ce lieu obligatoire