King Kong cache la misère: un scénario indigent, des détails qui tuent en pagaille (c’est quoi cette obsession des militaires pour voyager avec un tourne disque?), une musique illustrative et des monstres kitsch, mais on ne leur en veut pas trop. Bizarrement juste la présence de Kong suffit à pardonner toutes les faiblesses. Un charme d’aventures subsistent malgré la modernisation.
Logan
Pas de blagues. Pas d’apparition de Stan Lee. Pas de grand méchant spectaculaire. C’est un road movie qui trouve de temps en temps la sauvagerie désenchantée d’un Mad Max ou la froideur fascinante d’un Terminator. Un film de super héros enfin surprenant?
Marinero
L’auteur français sait visiblement s’entourer. Les bongas, le piano, les cuivres, tout y est. On ne va pas s’en plaindre. Les paroles interprétés par Antonio Thula, sont légères car Lauth cherche d’abord à divertir et cela ressent à chaque note de musique.