Son approche de la cold wave est radicale et sans concession. C’est tout à fait louable. La voix est intrigante. Mais franchement, il n’y a rien de nouveau. Rien ne change; tout se transforme. Avec sa connaissance précises des années 80, Fishbach ne change pas grand chose: tout se recycle!
Well well well
C’est une musique brutale. C’est l’immense qualité de ce disque. Il fait brut de décoffrage. C’est un vrai électrochoc musical. Le blues est fabriqué de manière artisanal mais sans perdre de temps, les deux lascars vont vers l’émotion du son et de la voix, qui se noie ici sous les effets mais ca fonctionne parfaitement.
A Cure for life
Comme d’habitude, le cinéaste de Pirates de Caraïbes ne connaît pas vraiment l’ellipse, trop content de nous montrer de belles images, de bien développer son histoire un peu fourre tout et une belle bande son. C’est du beau travail mais qui s’étire comme une vieille peau ridée…
William Z Villain
Venu du Wisconsin, William Z Villain aime regarder au dessus du mur de son cher Président. Il connait l’Americana aussi et le prouve en triturant Tom Waits, Dr John et quelques ancêtres détraqués!