L’androgyne chanteur, Brett Anderson, est devenu un dandy confiant. Le reste du groupe a vieilli mais aime encore les rythmiques carrés et les écarts de guitare, toujours maîtrisé par le torturé Richard Oakes, excellent au fil du temps. Il prend de l’ampleur à chaque album. C’est rare de voir une évolution aussi fascinante à chaque album.
Jeunes Pouces 2016: The 1975
Une mystérieuse Mélodie
Glénat ressortait de vieilles planches prestigieuses des comics en beaux volumes: les éditions se sont mis en tête de proposer ce projet incroyable et accepté par le propriétaire de mille franchises comme Marvel ou Star Wars. On en revient pas: l’empire Disney accepte que l’on joue avec son image, ou plutôt son personnage emblématique, Mickey!
Songs for our mothers
Sur ce disque, leur punk n’a rien de sautillant. C’est une plongée sonore dans un monde de complaintes, un peu bruitistes, où des mélodies soutiennent des délires instrumentaux qui peuvent lasser ou fasciner car cela s’écoute comme un disque un peu sulfureux, assumant tous les excès, aidé par un Sean Lennon adepte des sons psychédéliques!