Les images ne font pas dans la surenchère. C’est la bonne surprise de cette production Disney: elle refuse les grands effets et fait confiance au drame qu’elle représente pour impressionner son audience. The Finest hours semblerait être le fin du fin à Hollywood
Jeunes pouces 2016: Julian Klay
Un jour avec Un jour sans
Son précédent film, Hill of Freedom était jouissif car il s’amusait à déconstruire le fil du temps. Ici, roublard, il raconte deux fois la même histoire avec de petites variations qui feront le sel de l’ensemble. On pense aussi à Woody Allen dans cette volonté de jouer avec le récit. Moins misanthrope, un peu pessimiste, il filme le trouble éclat de l’existence, les petits riens qu’on réprime ou qu’on assume.
Blackstar
Son sens de la mélodie et sa voix subtile résistent aux capricieuses envies de la star de se réinventer à nouveau, créer une nouvelle étoile dans sa discographie. Elle est noire. Mais son éclat est évidemment éblouissant juste après sa disparition.