Une belle symphonie en trois actes où le pianon donne le ton. Où toutes les influences sont citées plus haut. Un beau moment de calme et d’harmonies. On est loin du chroniqueur amusé de l’existence! On admire en tout cas le chef d’orchestre Ben Folds qui profite de toute l’ampleur de l’orchestre de Nashville. Il fait joujou avec les cloches et les cordes qui se tendent à son bon vouloir.
Le Labyrinthe du silence
Larmoyant, le film n’est pas sentimentaliste (c’est une oeuvre allemande tout de même). Formellement l’académisme et le Scope (youhou, c’est la fête) proposent tout de même une vision de vrai cinoche, populaire et fort. L’air de rien, le film vous retourne, vous questionne, vous cherche des poux dans la tête.
Hill of Freedom
Cette générosité est rassurante et rend ses films, doux et tendres avec des personnages qui en ont souvent gros sur le cœur. Hill of Freedom est reposant et exaltant en même temps. Les petits détails en disent longs sur des personnages qui ont eux-mêmes du mal à s’entendre et se comprendre.