Aaron Fyfe s’en tire bien. Il y a bien de l’émotion dans ses chansons douces et acoustiques. Sa voix est sincère et le petit accent écossais apporte une touche de fraîcheur. Il n’y a rien de transcendant dans sa musique mais c’est fait avec honnêteté et cela s’entend sur les dix titres qui se valent tous.
Les tribulations du dernier Sijilmassi
Fouad Laroui fut lui même ingénieur. Il a peut être connu un « Burn Out » similaire. Il a trouvé aussi la solution dans les mots et la lecture. L’idée est bonne. A une époque où la décroissance fait recette, les conséquences d’un tel choix ne manquent pas de piquant.
Blur: The Universal
Nous les morts
Ils sont partout. A la télévision. Au cinéma. Dans les jeux vidéo. Dans les bédés du monde entier. Ils dévorent …