Ceux qui connaissent bien cette pièce, souvent montée, seront surpris de l’entendre comme pour la première fois: Benedetti prend le parti d’un tempo rapide, les acteurs déclamant allegro, évitant pathos et pesanteur. Même les dernières répliques du Docteur et d’Andreï, pourtant déprimantes sorties de leur contexte, ne peuvent entraîner l’ensemble vers le sombre.
Le parlement des invisibles, Anne Collod, Arsenal, Metz
Une pièce chorégraphique qui questionne l’influence des morts sur les corps vivants et qui réactive la puissance de la gestualité …
Sauver la peau, David Léon, Théâtre Ouvert
Trop noir et minimal Un homme seul sur scène avec pour unique décor une image projetée derrière lui et un …
Barbe-neige et les sept petits cochons au bois dormant
Du Perrault version Rita Mitsouko. Métissage réussi entre danse hip hop, personnages classiques et humour sans limite. A voir! …