Nicolas Lambert ne vient ni du spectacle, ni du journalisme, c’est peut-être pour cette raison qu’il a su créer un genre hybride, trouver le point de jonction entre ces deux univers.
Un fils de notre temps, Odon von Horvath, Théâtre Gérard Philippe
La sobriété de la mise en scène et du décor contribue à une atmosphère très intime, très intérieure, très personnelle, comme si on pénétrait dans les tréfonds de l’esprit du personnage, de ses pensées, de ses névroses; et l’habilité avec laquelle les éléments de décor sont instrumentés apporte une pointe de légèreté, d’humour, et même d’espoir, que du néant, du désespoir absolu, peut encore ressortir quelque chose de beau, de grand.
DIDIER BÉNUREAU ET DES COCHONS – Théâtre du Rond-Point
Au XXIe siècle la Bruyère s’appelle Bénureau !
FOI AMOUR ESPÉRANCE, Odon von Horvath, Usine Hollander
C’est un travail minutieux au service d’une esthétique sophistiquée. Et pourtant ça respire, ça vit, ça n’est pas figé comme une image. Sans doute parce que les choix sont audacieux,