Trois grandes parties se distinguent: Svetlana Alexeievitch nous parle de son travail d’écrivain-journaliste: sa méthode, ses motivations, et par là, sa place et son identité. Une jeune femme à l’accent russe, pleine de ferveur, joue le coryphée.
Père
Entre les mots, d’une violence inouïe, de la mère (Anne Kessler) et la fragilité que tout son être exprime, le contraste est saisissant, effrayant. Le père (Michel Vuillermoz) est tout aussi touchant, admirable. Lui qui devrait détenir tous les pouvoirs en tant que père et maître de maison, se révèle rapidement le plus faible, usé par la puissance des femmes et leur ténacité.
Le Professeur Rollin : déroutant et désopilant
Docte et légèrement pompeux, le Professeur Rollin nous édifie à l’occasion de l’une de ces merveilleuses conférences dont il a …
L’Avare au Théâtre Dejazet
La langue de Molière claque avec un éclat particulier dans la bouche du fils, Cléante. Lui qui bâtit son avenir à la poursuite de deux buts : s’affranchir de l’autorité de son père et vivre son amour au grand jour.