Drew Barrymore réunit dans son film les attitudes rocks et rebelles de plusieurs décennies. Le rock, la baston, la vulgarité mais aussi l’amour et la solidarité deviennent les preuves d’une désobéissance nécessaire. Parfait pour le samedi soir devant la téloche!
Pour rigoler, on va vous dire ici que le refrain est connu. Mais la façon de jouer est un peu différente.Un peu seulement. Car nous sommes à New York et qu’il est question de rêve de musique, puis de gloire, puis d’Amérique! Ici, la vie est l’endroit de tous les possibles. De la grandeur et de la décadence. Idéal pour la Saint Valentin
Dito Montiel – rien à voir avec ce voyou de Bernard qui hante le sud de la France et les plateaux de télévision – a beau s’appliquer à se la jouer Scorsese ou de Palma, il ne peut rien à faire avec un casting peu investi.
Le récit n’a aucun rebondissement. Les aliens donnent rendez vous à leurs adversaires: comme tactique d’invasion, on a vu mieux. Les blagues sont éculées et sans surprise. Les geeks devraient être en colère!