Les options et les choix deviennent des moments cruciaux. Le suspense est aussi élevé que le thermomètre. En quelques scènes, Doug Liman met en pièce le film de guerre pour en faire sortir toute l’absurdité et le pathétique. L’héroisme n’existe pas. On est à l’opposé de l’American Sniper, le très surestimé film de Clint Eastwood.
The oath (le serment d’Hippocrate)
Sorte de Kenneth Branagh islandais, Baltasar Kormákur se met en scène dans un polar où évidemment il fait très froid… on a presque des frissons!
Le retour de Chucky
Chucky résiste au temps et aux modes. A l’ancienne, il tue comme un bon vieux sérial killer: avec des outils et des envies! Sympathique!
It comes at Night
Le réalisateur fait un bon survival où les hommes sont bien faibles et les ennuis s’accumulent jusqu’à un final évidemment peu joyeux! La parano et la contamination sont bien là mais la mise en scène transende l’ensemble vers un brillant exercice de style réfléchi.