La grande loufoquerie des frangins, leur accomplissement visuel et leurs profondeurs un peu dépréssives résistent au changement de support. Et à l’exercice de style si difficile. On a cru au début à une mini série puis Ethan et Joel sont revenus à un format qu’ils connaissent. Le film est une succession de sketchs, avec les défauts et les qualités que l’on sait.
La Ballade de Buster Scruggs
