Le héros cite Kipling mais le film réveille tout ce cinéma d’un autre temps où la frontière n’est pas physique mais intérieure, où les paysages deviennent l’expression des doutes des protagonistes, où la musique nous propose de s’élever, au delà des images, où l’action reflète une profondeur plus existentielle.
Traque a Boston
Pourtant Traque à Boston se limite aux faits. L’enquête qui a suivi cet abominable attentat. Des terroristes jusqu’aux agences du pays en passant par les victimes, tout le monde a le droit de citer dans cet état des lieux qui reste un thriller, assez haletant même si on connait la fin.
Viral
C’est donc la fin du Monde en riquiqui, à travers le regard de deux adolescentes dégourdies, coincées dans une petite cité poussiéreuse. On peut y voir une métaphore sur la sexualité et des trucs qui plairaient bien à Cronenberg mais il s’agit finalement d’une humble série B
Kill the King
Emily Browning est une très jolie fille. Lukes Grimes est pas mal non plus. Les deux acteurs font le boulot et nous permettent d’oublier tous les défauts de ce tout petit polar chichiteux qui a l’idée lumineuse de mettre en scène le King. Le vrai. Le seul!