Ce n’est pas du Disney et son prêt à consommer. Le film commence par un drame immense. Une jeune garçon perd sa maman, dans un accident bête. La vie d’Icare ne semble déjà pas drôle mais là, ca se complique. Un policier l’accompagne dans un orphelinat. D’une tendresse infinie, ce film d’animation fait chavirer les coeurs.
Sing Street
Comme dans tous les films de Carney, c’est fait avec une absence de cynisme qui fait plaisir à voir et à entendre. Certains diront que c’est lisse mais finalement le type est exalté pour décrire son petit héros, gentille tête de turc et chanteur lucide. Il y a bien le coté nostalgique et rétro, mais le film reste diablement actuel sur la notion de l’Amour, qui va plus loin que la bluette entre le héros et la jeune fille mystérieuse aux yeux verts.
Jack Reacher Never Go Back
Autour de Jack Reacher, il y a toute une foule de types patibulaires qui veulent lui casser sa belle gueule. Mais bon, Reacher est un roi de la castagne en plus de résoudre des enquêtes compliquées. Mais à la différence du premier volet, le scénario est beaucoup moins regardant sur le développement du suspense.
Radin
La seule vraie bonne astuce est sûrement la plus connue, la collection des fameux coupons de réduction , au moment du passage en caisse au supermarché du coin. Malgré un acteur principal en grande forme, le film fait malheureusement quelques économies de fonds de tiroir