Des milliers de personnes périssent et à la fin, on applaudit tout de même le courage des super héros qui ont limité les dégâts et éloigné le pire du pire de l’Univers. Imaginez donc que cette chair à canon se rebelle. C’est bien gentil de nous sauver des monstres de tout poil mais faudrait faire attention au pauvre petit peuple de la Terre.
Independence Day
Pour la première fois, Emmerich ravage la planète. Ca sera désormais sa marque de fabrique. Toutes les villes disparaissent. Les militaires n’ont pas vu la série V et donc comprennent trop tard que les extra-terrestres veulent nous exterminer comme dans toutes les bonnes vieilles séries B des années « bouh on a peu des communistes qui rêvent de nous envahir »!
Le livre de la jungle
Disney met aux commmandes Jon Favreau, acteur sympa et réalisateur poli (Iron Man, Chef), habitué des sommets du box office pour mettre en scène la savane joyeuse du Livre de la Jungle. Le cinéaste s’applique donc avec tous les moyens numériques à respecter le cahier des charges du classique.
Truth: le prix de la vérité
Dans le fond, il est très difficile d’attaquer ce film à la gloire de l’honnêteté avec des seconds rôles parfaits dont un Dennis Quaid qui vieillit décidément très bien. Hélas, dans la forme, Truth le prix de la vérité, est laborieux. Scénariste de Basic ou de Zodiac, James Vanderbilt n’arrive pas à porter son récit avec une vraie vision. C’est très linéaire et didactique