Les images ne font pas dans la surenchère. C’est la bonne surprise de cette production Disney: elle refuse les grands effets et fait confiance au drame qu’elle représente pour impressionner son audience. The Finest hours semblerait être le fin du fin à Hollywood
Adventureland
James rêve de New York et découvre des trésors existentiels dans un parc d’une banlieue anodine de Pittsburgh. La romance s’accompagne d’un humour cruel. Tel un héros romanesque, il découvre les turpitudes du coeur. Il comprend la violence du monde qui l’entoure.
Un jour avec Un jour sans
Son précédent film, Hill of Freedom était jouissif car il s’amusait à déconstruire le fil du temps. Ici, roublard, il raconte deux fois la même histoire avec de petites variations qui feront le sel de l’ensemble. On pense aussi à Woody Allen dans cette volonté de jouer avec le récit. Moins misanthrope, un peu pessimiste, il filme le trouble éclat de l’existence, les petits riens qu’on réprime ou qu’on assume.
Deadpool
N’oublions pas que son costume est rouge pour que l’on voit pas le sang dessus. Je viens de passer un moment indéscriptible, où tout s’enchaîne. Tout est raccord. Tout est fou. De la mise en scène aux cascades en passant par la musique.