Rien ne m’a fait décoller de mon siège. J’espère en vain. Les intermèdes où l’écran se fond dans le noir ne m’ont pas aidés à m’extirper d’un ennui évident., Mais mis à part « ce petit défaut de fabrication » que je suis peut être la seule à ressentir, il est incontestable que le film vaut le coup et rien que pour la perfection du détail, je vous invite aussi furieusement à tailler la route direction le cinéma
The Tree of Life
De Niro président! Le festival de Cannes se fait avoir par l’opéra visuel mais pompeux de Malick!
Pelle le Conquérant
Palme d’or! Ca y est c’est parti pour la dizaine de jours la plus cinéphilique de l’année. En attendant, un petit retour sur des choses étonnantes dans l’histoire du festival de Cannes.
Un peu Beaucoup Aveuglément
Il nous désarme. La candeur va avec la candeur et les petites erreurs. Il convoque le vieux cinéma comique des années 50 ou 60 avec quelques grossières erreurs mais aussi une certaine élégance et un élan qui semble naturel. Ce n’est vraiment pas génial mais on devine un film personnel, ce qui est déjà pas mal du tout!