Car il oppose au scénario carré et prévisible, une amourette naïve entre le héros et une jolie chinoise et bien entendu un coté contemplatif dans sa réalisation, qui s’accapare les décors du ciné d’action de HongKong, reconnu et spectaculaire.
Citizenfour
L’Histoire est en marche : elle se fait dans des chambres d’hôtel, durant des entretiens calmes et passionnants. Ils sont complexes : on ne vulgarise pas tout dans ce documentaire un peu austère mais fascinant.
Lazarus Effect
Pour l’heure, ce petit film a tout d’un grand. Les effets de surprise sont présents et surtout maîtrisés. La mise en scène est bonne. La bande son est efficace. Tant d’efficacité est un tour de passe passe pour tout faire rentrer dans une heure vingt trois, je dis, record à battre.
The Voices
C’est dommage car esthétiquement les images sont belles. Les corps sont drôles. Mais il y a peu d’humanité, juste des bonnes répliques (10 ans de psychanalyse en dix secondes, belle réflexion sur le métier) et des conventions traités avec un peu trop de recul pour y découvrir une véritable honnêteté.