Avec une fausse légèreté, le réalisateur pose de bonnes questions et ne dissimule jamais son envie de faire du cinéma. C’est une fausse comédie de campus qui révèle des intentions douces amères sur la situation des étudiants noirs (mais aussi blancs) aux Etats Unis. Un portrait enlevé la génération Obama, voilà ce qu’est Dear White People !
The Voices 2e Avis
Ils surprennent, placés pile poil pour nous faire réagir: tout est bien pensé et soigné. Sous la couche très élègante de sang se cache un sujet plus profond et alarmant: la maladie comme seule alternative au mal-être. Pour être bien, Jerry doit faire le mal et le pire dans cette histoire qui n’a rien à dormir debout.
Hacker
Car il oppose au scénario carré et prévisible, une amourette naïve entre le héros et une jolie chinoise et bien entendu un coté contemplatif dans sa réalisation, qui s’accapare les décors du ciné d’action de HongKong, reconnu et spectaculaire.
Citizenfour
L’Histoire est en marche : elle se fait dans des chambres d’hôtel, durant des entretiens calmes et passionnants. Ils sont complexes : on ne vulgarise pas tout dans ce documentaire un peu austère mais fascinant.