The November Man

Pierce Brosnan joue donc un salaud doublé d’un héros. C’est la bonne et quasi unique idée du film, jouer avec l’ambivalence et le manichéisme. Notre ancien agent est capable du pire. The November Man se veut old school. Tout se passe dans les décors des pays de l’Est. L’action n’est jamais impressionnante.

Magic in the moonlight

Pour les amateurs, ne vous inquiétez pas : Woody Allen continue de s’interroger et de se mettre en scène par le biais ici d’un Colin Firth irrésistible en spécialiste du canular, sûr de lui et peu aimable. Il est tout simplement génial. Ce qui change c’est le plaisir visible du metteur en scène. Chaque année, il sort un film mais sur celui-ci, il semble s’amuser avec des comédiens investis.

#Chef

Favreau joue donc un chef qui souffre de ne pas être son propre patron. Au fil des engueulades avec sa direction, il fait un burn-out en même temps qu’il découvre les réseaux sociaux. Lorsque tout semble perdu, il redécouvre les joies de la paternité, de l’amitié et de la technologie. Indigeste?