Il n’y a pas de misérabilisme. C’est l’observation pure et dure. Les sentiments finissent par transparaitre petit à petit. La jeune fille grandit dans un corps qui n’est pas habituel. Pourtant c’est bien un récit d’apprentissage et d’émancipation qui va jusqu’au corps. Un cinéaste vénérable comme David Cronenberg serait jaloux du travail du cinéaste belge qui fait du corps, un vrai sujet de cinéma, d’ambiguité et d’interrogations.
The predator
Ca vanne à tout va. C’est gras. Les personnages sont caricaturaux. Toute l’action est commentée. Le scénario est poussif. C’est drôle mais franchement c’est totalement bête. Mais Black semble y mettre tout son coeur dans cette attitude quasi suicidaire
The house that Jack Built
LES INTERMEDES EN IMAGES 4/3, OU EN ANIMÉS, SONT INUTILES ET NE SERVENT QU’A MEUBLER LES 2H30, QUI POURRAIT FACILEMENT SE RÉDUIRE A 1H45. JE SUIS PAS NON PLUS FAN DE LA CAMÉRA EMBARQUÉE MAIS ON EST DANS L’AUTOPORTRAIT ET LE JOURNAL INTIME DE LARS, ENFIN JACK ! DONC POURQUOI PAS.
First man
DANS CE DERNIER EFFORT, C’EST LA VIE DE NEIL ARMSTRONG QUI EST A L’HONNEUR (SI ON VEUT). ON LE CONNAIT POUR AVOIR MARCHÉ SUR LA LUNE MAIS A PART CELA, ON NE SAIT RIEN D’AUTRE, IL FAUT BIEN L’AVOUER. MAIS A T-ON BESOIN D’EN SAVOIR PLUS ? C’EST BIEN LA QUESTION QUE JE ME SUIS POSÉE AVANT D’ALLER LE VOIR ET JE ME LA POSE TOUJOURS EN SORTANT.