Ready player One

Emporté par sa philosophie de vieux sage, Spielberg soigne la réalisation mais oublie un peu ses héros, un peu fades et enchainés à une histoire d’amour un peu simplette. Mais bon il ne faut pas bouder son plaisir: ce n’est pas du mercantilisme ou un produit de consommation roublard.

The Outsider

Ce n’est pas non plus un polar puissant et original. C’est juste une oeuvre ouverte, avec un mélange déjà connue entre la culture occidentale et les traditions japonaises. C’est donc esthétique et efficace en même temps. Le scénario ne réserve aucune surprise mais il est vrai que le jeu du comédien a de quoi dérouter.