CA PASSE COMPLETEMENT A COTE DE SON SUJET ET CA C’EST VRAIMENT LE COMBLE. VOULOIR FAIRE UN GRAND FILM SUR DE PETITS HOMMES MAIS DE VOIR ET FAIRE LES CHOSES A TAILLE NORMALE. ON A PAS D’INTERACTION AVEC LES GRANDES PERSONNES DU COUP ON RESTE DANS CE MONDE SANS VRAIMENT VOIR QUE C’EST L’AUTRE MONDE, CE QUI ENLEVE TOUTE LA MAGIE DU SCENARIO ET TOUTE LA PARTIE ÉCOLOGIQUE EST ÉVINCÉE….
Le Portrait interdit
Il y a l’élégance. Du début à la fin. Mais il n’y a jamais vraiment l’opposition pourtant proposé par le sujet entre l’Asie et l’Occident. Entre l’émotion et le sentiment. Entre la femme et l’homme. C’est tellement retenu que parfois, il faut l’avouer, il ne se passe plus grand chose.
the bad batch
Et puis le survival devient autre chose. Une espèce de déambulation romantique dans une monde de brûtes. La réalisatrice nous fait plonger dans l’horreur avant de nous tirer vers le haut! Vers quelque chose de plus éthéré. de plus délicat. La belle victime n’est pas qu’une blonde bornée. Le gros costaud n’est pas qu’un vilain carnivore.
Les heures sombres
Il faut bien des comédiens exceptionnels pour faire face à un Gary Oldman, qui dépasse l’imitation de l’homme politique. On oublie le maquillage et on devine les failles de cette légende de la politique anglaise à travers une interprétation pleine de truculence.