Lutte des classes et alliance improbable entre une vieux réac et une étudiante des banlieues. Le duo fonctionne et le film aussi. Tant mieux!
The Last Girl
Le début ressemblerait presque au film de Romero, Le Jour des Morts Vivants. Des zombies presque plus humains que les méchants militaires et les scientifiques tarés. Au milieu de tout cela il y a une jeune institutrice qui s’occupe d’une classe particulière: elle est composée de jeunes enfants qui sembleraient avoir une conscience malgré leur appétit vorace!
Viral
Car le film s’acharne sur l’american way of life et sur la morne existence qui en découle. Les rapports simples, humains, stéréotypés, se détériorent et virent au cauchemar ou au fantasme paranoïaque. Avec peu de moyens et des bons comédiens (dont le mésestimé Michael Kelly, éternel second ou troisième roôle à Hollywood), le duo de réalisateurs fait du bon boulot.
Madame
C’EST PLEIN D’ARROGANCE A LA FRANÇAISE. MÊME SI CERTAINS PLANS SONT TRAVAILLÉS TEL UN DE VINCI, LE RENDU EST AUSSI FADE QU’UN MALEVITCH. C’EST TELLEMENT MESQUIN ET MECHANT SUR LE SUJET ET SA FACON DE L’ABORDER QUE L’ON OUBLIE QUE C’EST SENSÉ ETRE UNE COMÉDIE JOVIALE, COCASSE AVEC DES QUIPROQUOS MAIS SURTOUT DE LA BIENVEILLANCE, CE QUE TOUT CE FILM N’EST PAS.