DE BOUT EN BOUT JUSQU’A LA LIBERATION, ON ENTEND LES MOTEURS QUI HURLENT, LES BATEAUX QUI COULENT, LES AVIONS QUI VOLENT ( BA OUI HEIN), C’EST UNE MELODIE STRIDENTE QUI RENVERSE LE FILM PLUS LOIN QU’UN FILM LAMBDA ET C’EST LA TOUTE SA FORCE, JE ME DIS MEME QU’EN IMAX ON DOIT PRENDRE UN PIED D’ENFER.
LA Rush
Bruce Willis a deux choses qui comptent dans la vie: ses amitiés et son chien. Ce dernier est un jour kidnappé par un gang qui vend de la drogue et ca rend dingue notre héros! Comme on est à LA, on est dans le décor de Pulp Fiction et en plus Bruce Willis a fait parti de cette légendaire aventure! Donc LA Rush lorgne sur l’oeuvre de Tarantino.
Death Note
Adam Wingard avait réalisé il y a quelques temps le très sympathique You’re Next. Puis il s’est sauvagement crouté avec le remake, reboot, grosse daube Blairwitch et Death Note confirme que son talent est bien limité à une passion réelle pour le genre. On l’a chargé de mettre en scène le fameux Godzilla vs King Kong. On a toutes les raisons de s’inquiéter.
Baby Driver
Billy Elliott de la grande vitesse, le jeune homme doit du pognon à un mafieux paternaliste et sa dette sera épongée après un dernier braquage. Evidemment rien ne va se passer comme prévu. Dans cette seconde moitié, on est en terrain connu et le réalisateur se concentre sur son récit. Il est musclé et enlevé. Un Drive avec de l’humour et de la dérision.