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Yves Flank a une écriture si évocatrice qu’il nous fait autant entrer dans la nature la plus charnelle qui soit que dans la recréation d’un certain Paris des années 1940. Il y a notamment un passage sur les cours des immeubles où se concentre la vie en commun, les chanteurs qui viennent pousser leur mélopée. Il y a aussi un personnage de concierge qui fait froid dans le dos.