Le Vampire de Ropraz

Le « monstre », qui récidivera à plusieurs reprises, est traqué en vain jusqu’à l’arrestation d’un garçon de ferme au profil de « coupable idéal ». Le jeune Favez, dont la courte existence est à elle seule une sorte de concentré de la maltraitance enfantine, est finalement condamné à perpétuité et confié à l’institution psychiatrique avant de s’évader en 1915…

Villa avec Piscine

Et il faut donc constater que la bêtise, la faiblesse et le désir sont les plus émotions qui habitent les malheureux vacanciers, d’un médecin sans scrupule et aucune compassion à un comédien lubrique et un peu bête. Au fil des pages, l’humour est d’une noirceur quasi déprimante. Herman Koch nous met dans un état assez cafardeux.