Silas Corey est une sorte de James Bond français en pleine Première Guerre Mondiale. A l’heure où l’on célèbre le centenaire de la Der des Der, les auteurs sont un peu à côté des tranchées et des massacres de la geurre de position, même si notre héros a vécu l’enfer des poilus (il aurait été touché par trois balles allemandes).
Le Brigand de Sertao
Il s’agit d’une histoire en noir et blanc, sous forme d’une succession de nouvelles qui s’enchainent les unes aux autres dans un graphisme proche de celui de Bruno dans son Nemo. Les bandits, sauvages et impitoyables, sévissent dans le Nordeste brésilien au début du siècle dernier.
Billet d’amour
Son dessin ressemble aussi à Boulet. Il est publié par le même éditeur. On est obligé de penser à son concurrent. Mais le ton est plus calme et tout aussi amusant.
Ce qu’être d’avant-garde veut dire, David Antin
« …ce que je veux faire c’est rendre sur la page une image de la parole qui se propage dans l’air faire …