Les deux Toulousains de De Calm, un peu à l’image d’un Miossec à l’époque de son chef d’oeuvre, 1964, jouent sur la carte de l’introspection et soulèvent à travers leurs refrains mélodiques des sujets assez audacieux et même douloureux. On pensera bien sûr au Bataclan mais aussi sur des thèmes intimes et universels.
Disparue Juliette
