Longtemps. Cela faisait effectivement un bail que l’on n’avait pas entendu un disque aussi joliement ficelé. Aidé par le discret mais solide Julien Baer, les notes se fredonnent et les instruments se lovent avec une infinie souplesse.
De l’enfer au paradis
Le rock qu’il défend est à l’image du bonhomme: très sympathique. Il n’en fera pas des tonnes. Il ferait presque penser à Francis Cabrel, le héros du coin et beaucoup plus intéressé par le rock qu’on ne le pense.
Sainte saucisse
Et sa passion pour la boucherie. Ses chansons ont de la suite dans les idées. Il y a donc une chanson sur l’aligot. Elle nous fait découvrir le stoemp saucisse. Elle passe chez le boucher ou encore, elle se voit bien comme une andouille.
II/III
Ceux qui prennent le métro (élément essentiel de l’album) savent que cela fait du bien la mauvaise humeur! Ceux qui vivent dans Paris savent que c’est un sport national. Ceux qui écoutent Pascal Bouaziz savent que cela peut devenir de la poésie