Big day in a small town

Il y a même un soupçon de pop qui risque de décontenancer ou agacer. Mais c’est franchement rigolo. Car tous les clichés sont célébrés avec une empathie typiquement américaine. Brenda Clark sait de quoi elle parle. Elle grandit à Morton dans l’état de Washington entre deux passions: la musique et le sport. Grace à une bourse, elle part à l’université et s’épanouit alors dans la musique, calme et caressante.

Who will be next?

Pendant que les Lumineers remplissent les salles du Monde entier, d’autres essaient toujours de percer sur des vieux classiques de la folk: une bonne guitare vivace et une voix mordante. Il a donc le look qui va bien avec sa barbe en broussaille et des idées plein la tête toutes glissantes sur une slide guitar.

Venus

Hélas, la production se vautre dans un espèce de pop électro, pas toujours du meilleur goût. Elle veut clairement s’émanciper de ses années dans une genre très « niché » mais ce n’est pas très original. Pire on s’ennuie rapidement malgré quelques plages moins sophistiquées.

Wilder Mind

Mais pas sûr que cela plaise aux fans de la première heure qui appréciaient le coté authentique. Pas sûr non plus que leurs nouvelles compositions réussissent à sortir du lot. C’est effectivement bien fichu, bien produit, le groupe étant aidé par le talentueux producteur, James Ford, complice ou âme damnée de Alex Turner des Arctic Monkeys.