Marlon Williams se donne des airs de crooner paumé dans une période un peu folle. C’est la force tranquille. Fils d’un punk maori, Marlon Williams préfère la sérénité et l’élégance d’un air de musique, d’une ballade douce-amère ou d’un rock de dandy.
Sea of Brass
C’est donc de la pop à l’ancienne avec une production inhabituelle. C’est simple. Carré. Ca fait son petit effet. Ca sent bon les plaisirs d’Outre manche . C’est peut être lassant mais l’exotisme est là!
Cleopatra
Donc que vaut ce second disque évidemment attendu? He bien, rien de très nouveau. Rien de décevant. Les chansons sont entraînantes quand il faut. On irait bien se rouler dans l’herbe ou courir dans les champs comme dans le générique de La Petite Maison dans la prairie. C’est rafraichissant. La musique idéale pour une promenade dans les bois!
Sun city eater in the river of light
Car on ne les a pas vus venir, ces petits gringalets de New York. C’est dense mais délicat. Earl de Woods réussit à lier différents styles sans faire le singe de foire. La musique est inédite même si elle se compose autour d’influences vieillottes.