Parce qu’il se rapproche plus d’un rock progressif, The Pineapple Thief a eu du mal certainement à s’imposer sur les radios. On a donc parfois des envolées électriques et des montées d’hormones sonores. Ca peut paraître kitsch mais c’est franchement sympathique car le groupe semble encore et toujours y croire.
C’est ce qui fait plaisir dans ce groupe: ils sont impétueux. Ils supportent toutes les humeurs et ne s’enferment pas dans un genre, un style ou une mouvance. Il y a de belles plages élégiaques et des plages plus urbaines, plus grises, ou encore des moments délicieusement furieux. Ils sont en tout cas très libres.
Ils ont des tronches de bébés rockeurs mais on sent vraiment que l’élevage de Manchester est de très bonne qualité. Les morceaux sont de choix.
L’accouplement a de quoi faire rougir. Ce second album marque donc une grand partouze sonore où le psychédélisme s’accouple avec le glam rock. Ou les lenteurs mid tempo n’empêchent pas les érections électriques et les coups de trique sur les rythmiques. C’est un disque libertin et visiblement libéré. Les amateurs des Flaming Lips apprécieront évidemment! Mais les autres aussi. Le plaisir doit être partagé par tous!L’accouplement a de quoi faire rougir. Ce second album marque donc une grand partouze sonore où le psychédélisme s’accouple avec le glam rock. Ou les lenteurs mid tempo n’empêchent pas les érections électriques et les coups de trique sur les rythmiques. C’est un disque libertin et visiblement libéré. Les amateurs des Flaming Lips apprécieront évidemment! Mais les autres aussi. Le plaisir doit être partagé par tous!