Three Imaginary Boys

Réunis sur un premier album intitulé « Three imaginary boys » paru la même année, tous ces titres (à l’exception notable de Killing an arab) nous permettent de revenir à la source d’un groupe qui, depuis, a fait le chemin que l’on sait, passant par des périodes obscures avant de réapparaître en pleine lumière avec « Bloodflowers ».

In Dream

Ce cinquième album démarre une fois encore sur une nappe de synthétiseurs qui sent bon l’ennui. Mais Tom Smith semble avoir retrouvé la Foi: sa voix est plus ample et retrouve l’emphase des premiers disques. Bonne nouvelle. On excuse ainsi les effets lectro-pop-gothic toujours présents et trop stéréotypés.