L.S.T

Bienvenue au Japon! Les chansons de Tokumaru sont souvent courtes, espiègles et s’inscrivent dans un univers quasi enfantin. Mais c’est loin d’être simpliste. Les sonorités sont agréables, parfois exotiques mais parfaitement pop. Il emprunte à l’ambient de Brian Eno. Bien entendu, l’origine japonaise éveille la curiosité mais en deux ou trois chansons (spécialement Mushina), le musicien nous embarque vers des destinations surprenantes et introspectives.

Tricot Machine

Sur des petits détails, le duo tisse des petites chroniques ordinaires. C’est là qu’il trouve des émotions justes et mélodiques. Il y a bien une ou deux titres maladroits, un peu trop  » youkaïdiyoukaïada  » mais l’ensemble tresse une jolie succession de morceaux intimes qui réconfortent. A redécouvrir en hiver, pour voir si ce disque est fait d’une laine si précieuse et chaude.

No Hassle

Pour les vacances, on visite le Monde en musique avec quelques disques à mettre dans les bagages. Aujourd’hui l’Autriche! Ici, le son digital se conjugue avec des véritables instruments. La modernité de leurs chansons n’empêchent pas une immersion dans un véritable univers sonore, très humain et franchement agréable.

Brighter

Ils y arrivent parfaitement: « Brighter » est un soleil glacial mais qui fait fondre les préjugés, les doutes et l’indécision. Ca gigote et tournicote mais ce n’est pas tout. Avec leur musique, Whomadewho redéfinit le gout de l’electro, entre volonté punk de tout remettre en cause, envie d’harmonies bidouillées et exécution acrobatique de titres tout simplement fascinants.