Jamie Cullum, Madeleine Peyroux ou encore George Benson. Et plein d’autres. Venus de la pop comme Selah Sue ou Thomas Dutronc. Les interprétes se succèdent et rendent un hommage Big Band assez chaleureux pour faire la différence. Rapidement le disque semble être de saison. Il est généreux et en plus le style va bien aux fêtes de fin d’année.
Americana
Héros de la pop dans les années 60, Ray Davies donne sa vision du rêve américain. Si le style change, l’ironie qui faisait le charme des Kinks subsiste. Heureusement. C’est précieux.
What if Nothing
Talk is Hard synthétisait sans aucune erreur la pop actuelle. Là, c’est un peu plus caricatural mais ce n’est pas déshonorant non plus. Le quatuor reste sympathique car il y a toujours de l’énergie qui force le respect. On pourrait même les soupconner de conserver une douce ironie face à leur art de la pop.
Monolith of phobos
Le foutraque bassiste de Primus rencontre le fils de John Lennon. Dans les vapeurs du psychédélisme ils parviennent à tracer leur route ensemble. Pas mal!