Il y a donc la candeur d’une soul ancienne et toute la force d’un punk énervé. Un mélange assez irrésistible si on accepte de régresser gentiment. Avec Lydia et ses potes, on retrouve les crises de nerfs de l’adolescence et les révoltes qui sortent en hurlant. C’est jubilatoire.
All the light above it too
Jack Johnson n’aime pas trop son nouveau président orange et il le fait avec toujours autant de talent. Au bout de sept albums, l’inspiration pourrait stagner mais le musicien trouve toujours une petite note espiègle pour que l’on ne s’ennuie pas.
Done by the forces of nature
On joue les vieux cons aujourd’hui avec le bon vieux refrain du « c’était mieux avant ». Il faut dire que la réécoute de ce disque de la zulu nation est une petite piqure de rappel sur le très haut niveau musical de certains rappeurs!
The life & times of Candy Rose
Jack Art et son « band » font donc un rock que l’on va juger classique avec des envolées électriques et une voix qui nous narre une belle histoire des petites gens! C’est cliché mais cela fonctionne très bien. On dépasse l’exercice de style. Ce premier album a un coeur énorme et cela se ressent avec ce concept autour d’une jeune fille dans les années 60 et 70 à Philadelphie.