White Bear

Ils font donc penser (un peu) à Led Zeppelin. Leur inspiration est totalement américaine. Les rythmiques sont lourdes et les guitares ont largement leur place. Le chanteur écossais roucoule puis hurle avec un certain talent. Ils sont ambitieux et on les remercie de ne pas se laisser aller aux sages hommages. Leurs chansons sont originales tout en respectant le genre ultra codifié.

San Francisco

Comme d’habitude chez eux, on sent ce travail en équipe. Ce n’est pas de la frime. Le trio est excité et joue réellement sur ses bases post punk, un peu noise pour tenter des chansons inhabituelles qui ne passeront pas sur toutes les radios, c’est sûr. Avec eux, on sait que l’on va avoir droit à de l’inédit. Tant mieux.

Hidden City

Rien de nouveau chez The Cult mais depuis l’album Sonic Temple en 1989, on sait de quoi ils sont capables et que le succès leur a joué un mauvais tour: ils auraient tout simplement pu être les meilleurs, le fer de lance d’un rock débridé, un peu aventureux et spectaculaire. D’autres ont pris la place!