Cher lecteur,
J’ai quelque difficulté à rédiger une chronique digne de ce nom sur ce spectacle: j’y suis allée par curiosité et… ben j’ai rien compris mais rien du tout…
En fait, il y a quelques années, la langue de Novarina m’avait paru complètement absconse, mais j’espérais qu’avec le temps, et surtout grâce au talent d’un comédien poète et passeur de mots comme André Marcon (qui a créé et joue régulièrement le texte depuis 30 ans!), je comprendrais enfin, que l’oeuvre s’éclairerait – au moins en partie. Mais je me suis trompée.
Je suis désolée, je me sens incapable d’en écrire plus sur ce spectacle…
Que faire? Si j’avais le temps de m’avaler une thèse sur Novarina, d’écouter des entretiens ou de m’intéresser aux œuvres qui se sont construites à partir de ce texte (« L’Animal du temps » et « L’Inquiétude »), je pense que je pourrais écrire quelque chose qui ait du sens… Mais je n’aurai tout simplement pas le temps.
Alors, Cher lecteur,
Si tu as la passion d’un poète et si tu parles plus de 5 langues étrangères: je te recommande ce spectacle.
PS: si tu l’as aimé, s’il te plait, explique-moi sa beauté en utilisant le champ « commentaire » au bas de cette chronique.