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The Finest Hours
Les images ne font pas dans la surenchère. C'est la bonne surprise de cette production Disney: elle refuse les grands effets et fait confiance au drame qu'elle représente pour impressionner son audience. The Finest hours semblerait être le fin du fin à Hollywood
Sound + Vision
Les véritables artisans de ce magnifique travail sont les canadiens de chez Rykodisc, qui avaient élaboré le premier coffret Sound + Vision fin 1989. Rapidement épuisé, cet objet était devenu pièce de collection bowiephile.
Alors il y a dix ans, EMI a récupéré le bébé, l’a luxueusement relooké, agrémenté de quelques titres plus récents et puis ressorti sous cette forme, qu'on peut encore s'offrir avant qu'il devienne collector à son tour.
Adventureland
James rêve de New York et découvre des trésors existentiels dans un parc d'une banlieue anodine de Pittsburgh. La romance s'accompagne d'un humour cruel. Tel un héros romanesque, il découvre les turpitudes du coeur. Il comprend la violence du monde qui l'entoure.
The Deram Anthology
Mélodies, interprétation, idées… on se régale, on est épaté du brio et de la maturité de ce gamin autodidacte, encore un tout petit peu emprunté, mais dont le talent transpire déjà comme une évidence. On repère les prémices du théâtral (Please Mr Gravedigger) ; on sourit à quelques niaiseries (The laughing gnome, assurément son morceau le plus débile, toutes époques confondues, petite voix niaise en prime… qui atteindra pourtant le top 4 en 1973, quand Decca choisira de le ressortir, en pleine vague Ziggy ! Décidément, Decca…)
Un jour avec Un jour sans
Son précédent film, Hill of Freedom était jouissif car il s’amusait à déconstruire le fil du temps. Ici, roublard, il raconte deux fois la même histoire avec de petites variations qui feront le sel de l’ensemble. On pense aussi à Woody Allen dans cette volonté de jouer avec le récit. Moins misanthrope, un peu pessimiste, il filme le trouble éclat de l’existence, les petits riens qu’on réprime ou qu’on assume.
Bowie at the Beeb
Entre septembre 71 et mai 72, la BBC peut se vanter d’avoir accueilli sur ses ondes plusieurs performances historiques, versions extrêmement enthousiasmantes du gratin des albums ci-dessus , avec en prime deux reprises de Lou Reed/Velvet Underground pas piquées des hannetons. C’est vraiment fabuleux.
Deadpool
N'oublions pas que son costume est rouge pour que l'on voit pas le sang dessus. Je viens de passer un moment indéscriptible, où tout s'enchaîne. Tout est raccord. Tout est fou. De la mise en scène aux cascades en passant par la musique.
The Voice la classieuse VS Nouvelle Star la rance…
Tradition radiophonico-télévisuelle revenue au début des années 2000, pourtant vieille de 60 ans, enfin je crois, j’étais pas là pour …